Trois flashs sur Cuba et un portfolio commenté, par Philippe MARTIN

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L’océan Atlantique ensoleillé était couvert à l’infini de nuages façon Alpes aplaties. A l’époque Colomb a emprunté plusieurs fois la même route avec une apparente facilité. De nos jours, on parlerait de navettes. Dix heures de vol de jour, dans cette sorte d’autobus où l’on s’installe avant d’oublier où l’on est, je découvre l’Italien Paolo Rumiz qui parle d’Hannibal, un conquérant qui n’a laissé aucune trace tangible à ce qu’il semble, mais qui est une légende omniprésente en Méditerranée. Dans un sens, en transposant littéralement, nous volons vers la même chose, peu d’effets concrets de la Révolution, beaucoup de slogans et de glose. On va voir.

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